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Faire son métier - rencontre avec la co
Diomcoop est une coopérative fondée il y a 5 ans et qui emploie aujourd’hui 16 permanent·es. Lancée avec le soutien de la mairie pour aider à la régularisation de personnes dites « sans papiers », elle fonctionne maintenant avec 70 % d’autofinancement et mène de front de nombreux projets.
Lors de la création de la structure, ce sont les métiers, les savoir-faire, les expériences des futurs coopérateurs et coopératrices qui ont guidé le choix des secteurs d’activité. Qui était tailleur au Sénégal, qui était dans la cuisine, dans le ménage, dans la communication.
Ainsi est née une solution collective pour sortir de la rue, de la précarité, de la vulnérabilité de ses métiers informels. Une solution pour redonner des perspectives et de la dignité. Et pour sortir aussi de l’impasse à laquelle confine le statut de clandestin·e : être étranger·e partout, coupé·e de ses proches, loin de ses rêves.
Comme le dit Marie dans le reportage, la pire chose que l’on puisse faire à un être humain, c’est de tuer son espoir. A Barcelone, Diomcoop, comme Topmanta, ou le syndicat populaire des vendeurs de rue, s’attelle à faire vivre un monde plus juste, où l’espoir est permis pour toutes et tous, sans distinction.
Marie est présidente de la coopérative, en charge des actions de communication et de sensibilisation. Elle a pris le temps de répondre à nos questions, avec une force et une détermination contagieuses.
Grand merci à elle, ainsi qu’à Massek et Binta pour leur témoignage.
—
Musique début et fin : Omar Pene – Fakatal // milieu : Cinematic Orchestra – Child Song
Pour retrouver plus d’informations : www.diomcoop.org Pour commander les produits, habits et accessoires : www.diambaar.com
Lors de la création de la structure, ce sont les métiers, les savoir-faire, les expériences des futurs coopérateurs et coopératrices qui ont guidé le choix des secteurs d’activité. Qui était tailleur au Sénégal, qui était dans la cuisine, dans le ménage, dans la communication.
Ainsi est née une solution collective pour sortir de la rue, de la précarité, de la vulnérabilité de ses métiers informels. Une solution pour redonner des perspectives et de la dignité. Et pour sortir aussi de l’impasse à laquelle confine le statut de clandestin·e : être étranger·e partout, coupé·e de ses proches, loin de ses rêves.
Comme le dit Marie dans le reportage, la pire chose que l’on puisse faire à un être humain, c’est de tuer son espoir. A Barcelone, Diomcoop, comme Topmanta, ou le syndicat populaire des vendeurs de rue, s’attelle à faire vivre un monde plus juste, où l’espoir est permis pour toutes et tous, sans distinction.
Marie est présidente de la coopérative, en charge des actions de communication et de sensibilisation. Elle a pris le temps de répondre à nos questions, avec une force et une détermination contagieuses.
Grand merci à elle, ainsi qu’à Massek et Binta pour leur témoignage.
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Musique début et fin : Omar Pene – Fakatal // milieu : Cinematic Orchestra – Child Song
Pour retrouver plus d’informations : www.diomcoop.org Pour commander les produits, habits et accessoires : www.diambaar.com
Dernière rediffusion le 6 juin 2022, 00:00

Des émissions sur des sujets divers et variés, réalisées par les animateur·euses de Radio Zinzine.