Recherche d'émissions

Commune Oreille pour cette rentrée de septembre chaleureuse, et bien que les émissions soient en pause, provisoire ou définitive, vous propose une "mini" session sous l'air des dernièr.es, Last donc, et toujours sous licences libres!

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Commune Oreille est une émission mensuelle des musiques sous licences libres chaque second lundi du mois à 11h, rediffusion le dimanche qui suit à 20h sur les ondes de Radio Zinzine ; ou à écouter et télécharger sur notre blog, dans une intemporalité interspatiale:
Commune Oreille

"Alarmphone sur le pont" est une émission proposée par des personnes agissant au sein de cette organisation. Elle a pour objectif de présenter leur action et les conditions dans lesquelles elles tentent de sauver des vies.

Quelque part en Albanie, à deux pas de l'Adriatique, nous sommes à Apollonia, un site archéologique qui fut une cité rayonnante il y a 2500 ans. Nous y retrouvons Marie-Pierre Dausse, historienne, et Vincent Mespoulet, enseignant , qui nous explique leur projet: retrouver et imaginer des histoires de cette époque à travers la Méditerranée. Des récits de vie et d'organisation politique qui sont ensuite podcastées. Pour l'instant nous sommes dans ce qui fut l'Epire antique, où l'on redécouvre un monde contemporain des cités athéniennes mais dont on sait peu de choses encore. Il s'agissait de peuples fédérés au nord de la Grèce actuelle et au sud de l'Albanie. Car aussi surprenant que cela paraisse cette histoire a longtemps été négligée ou instrumentalisée politiquement. D'où l'intérêt d'aller écouter les pierres dans ce pays magnifique.

Cette série d'émissions donne l'actualité de la tournée en Europe de la délégation mexicaine qui est arrivée à Vienne en Autriche mi-septembre 2021. Elle reprend également certaines parties de la série intitulée "Le voyage des zapatistes, chronique d'une rébellion", qui est en ligne sur le site de Radio Zinzine et qui retrace l'histoire et les positionnements du mouvement zapatiste.
***** 1ère : départ de l'escadron 421 et arrivée de la grande délégation

La figue est un trésor que les pays méditerranéens ont en commun. Dans le sud de la France, on vénère ce fruit dont on compte quelques 700 variétés dans le monde!
Riche en fibres et calcium, pauvre en sucre, la figue est un allié qui se consomme jusqu'en novembre et encore au long de l'année dans la version séchée.
On la savoure fraîche, sèche, on la cuisine, on la gratine, on la caramélise, on la tartine... en accompagnement de fromage, au dessert, au petit-déjeuner que sa confiture rend gourmand!

C'est le témoignage d'un père, Jean-Pierre Albertini, qui découvre que son fils a été tué lors de l'attentat du Bataclan du 13 novembre 2015. Comment ce drame tombe sur une famille sans histoire. Comment il est difficile de faire le deuil, surtout au début, face à la difficulté de connaître plus précisément les circonstances.
L'impression de gaspillage que laissent les dysfonctionnements de la sécurité du pays. Et la suite, comment les familles de victimes se retrouvent, comment l'Etat gère la situation, comment on continue à vivre, et quelle analyse on peut faire des tenants et aboutissants de cette tuerie au moment où débute le gigantesque procès du 13 novembre à Paris ?
Telles sont les questions auxquelles le père de feu Stéphane Albertini, qui était père lui-même d'un petit garçon, tente de répondre travers son livre Mourir au Bataclan (Mareuil éditions) dont cet entretien est un écho... 40'

Un entretien avec Guillaume Blanc, auteur de "L'invention du colonialisme vert" (Flammarion, 2020) enregistré lors de la conférence "Notre terre, notre nature", organisée le 2 septembre à Marseille par Survival International. Cette rencontre a eu lieu la veille de l'ouverture du grand congrès de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN), également à Marseille, qui annoncera, entre autre, la volonté de protéger 30% de la planète. Il y a un très fort risque que cet effort de conservation de la biodiversité se fera au détriment des communautés locales habitant dans ces zones, comme cela a été le cas avec la mise en place de parcs nationaux en Afrique, en Asie et aux Etats Unis depuis plusieurs décennies.

Un entretien avec Frédéric Hache du Green Finance Observatory à Bruxelles, rencontré à la conférence "Notre terre, notre nature" organisée le 2 septembre 2021 à Marseille par Survival International afin d'alerter sur de nombreux aspects pervers et fort inquiétants des politiques sensées promouvoir la défense du climat et de la biodiversité. Il s'agit entre autre des marchés carbone, de la compensation, de la volonté de transformer de vastes zones de la planète en "aires de protection" au détriment des communautés d'habitants...

Un festival organisé par l'EHESS d'Aix-Marseille avec les musées et les bibliothèques de Marseille du 22 au 26 septembre 2021. Tout migre? Des chercheur.euses en science sociales vont se pencher sur cette questions au travers de débats, d'exposés, de films, d'expositions, de balades et de lectures...
Camille Smoll Géographe et autrice ddu livre "Les damnées de la mer" nous le présente. Pour se renseigner sur le programme précis suivez le lien https://allez-savoir.fr/

Le jour de la sortie de l'album MALUCA BELEZA - Jazz Fusion et Poésie brésilienne en direct du studio de RADIO ZINZINE le vendredi 17 septembre dans le cadre de l'émission " BULLE DE JAZZ " avec :
Caroline Tolla (chant, mise en musique des textes, autrice), Pierre Fenichel (contrebasse, composition) et Alain Soler (Fondateur de l'Atelier de Musiques Improvisées et du Label Durance, (Château-Arnoux 04).
Alain Soler est un infatigable « passeur » de jazz. Enseignant (AMI, AJI, CRD04…) depuis plus de trente ans en conjuguant à parts égales les projets discographiques et les rencontres artistiques.
Caroline Tolla, chanteuse aux multiples facettes, nous emmène le long des rives brésiliennes. Comme une douce folie, elle embarque avec elle des musiciens complices dans cette aventure colorée, toute en nuances et en délicatesse.
Jazz et musique brésilienne sont amant·es de longue date. Bien des compositeurs/trices ont partagé leur cœur entre ces deux univers envoûtants.
Nouvelle création : Impros, imprévus & douce folie.

Samedi 4 septembre, lors de la journée de protestation contre l'obligation du passe sanitaire pour les soignants nous allons à l'hôpital de Digne (04).
La question centrale est que les professionnels présents vaccinés ou non, estiment qu'on ne les prend pas en considération, et qu'ils sont suffisamment vigilants dans leurs pratiques pour ne pas être en plus suspectés de transmettre le virus.
De plus comme les non vaccinés sont de l'ordre de 30% ce serait catastrophique de s'en passer d'autant que l'hôpital est déjà à flux tendu depuis longtemps comme on sait. Donc soit le gouvernement ne met pas en application les licenciements annoncés pour le 15 septembre soit cela va très mal se passer...
D'autre entretiens ont lieu lors de cette manifestation, où certains professionnels mettent en doute les vertus du nouveau vaccin anti Covid, voire sa dangerosité, ce qui n'est pas établi au niveau bénéfice/risque, d'autant que jusqu'à présent la quasi-totalité des malades arrivant en réanimation sont des non-vaccinés.
Une amie médecin souligne également le manque prévention au niveau des soins, ce qui est une réalité... Quant à savoir s'il y aurait des traitements efficaces que l'on négligerait, cela mérite probablement d'être approfondi. Le syndrome du Covid reste un sujet de discussion et d'émotion sans fin...

Charles Burnett est un cinéaste noir américain bien trop peu connu, malgré le fait que son premier long métrage, Killer of Sheep, est aujourd'hui déclaré trésor national par le National Film Registry des Etats-Unis. Né en 1944 dans le Mississippi, Burnett grandit à Los Angeles dans le quartier de Watts, théâtre en 1965 des premières grandes émeutes de Noirs des années 60. L’un des rares Noirs de l’époque à pouvoir faire des études universitaires, il étudie la cinématographie au sein d’une équipe de jeunes Noirs fortement politisés. Ses travaux décrivent surtout la vie de Noirs américains dans un style quasi-documentaire. Tourné entièrement avec des acteurs non professionnels, Killer of Sheep, réalisé en 1977, brosse le portrait du quartier de Watts. Dans cet entretien, Burnett parle de l’évolution de quartiers comme Watts, des conséquences néfastes de l’introduction de drogues et d’armes, de la répression contre tout leadership noir, de son analyse suite à l’arrivée au pouvoir du premier président noir… Entretien enregistré lors des 22ème Rencontres Cinéma de Manosque.